Les maladies

23/08/2014

Pour le galop 4 deux maladies sont à connaitre : la colique et la fourbure

1-Les coliques
Une colique est un trouble abdominal du cheval.
La colique peut être due à : un intestin bouché, une surcharge de l’estomac, un excès de fermentation au niveau du colon, des parasites intestinaux, un grand stress, une ingestion trop rapide des aliments, des dents en mauvais état, un effort violent pendant la digestion ou un brusque changement de régime alimentaire.
Un cheval en crise pourra : ne plus manger, ne plus uriner ou faire de crottins, se coucher et se relever incessamment, se regarder les flancs, gratter le sol avec un antérieur, tourner en rond dans son box, transpirer excessivement.
Pour éviter les coliques il faut éviter de mettre le cheval dans un pré trop sablonneux, faire vérifier régulièrement les dents, vermifuger comme il le faut, changer progressivement d’alimentation ou de lieu de vie, fractionner au maximum les repas, nettoyer régulièrement le pré ou le box, surveiller quotidiennement son cheval.
!La colique peut être grave et mener à la mort du cheval elle est à prendre au sérieux.

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2- La fourbure
La fourbure est une maladie du système vasculaire du pied : le pied n'est plus bien irrigué.
Elle peut être due à : l'ingestion d'une quantité d'aliment excessive ou trop riche, l'absorption d'eau trop froide si le cheval a chaud, une autre maladie, travail trop long ou trop intense sur un cheval non habitué ou un terrain trop dur, mauvais parage, un choc ou appui excessifs sur un pied.
Un cheval en crise pourra : adopter une posture caractéristique pour soulager ses antérieurs, respirer fort, transpirer, avoir de la fièvre, être boiteux, refuser de se déplacer ou dans un cas grave rester couché.
Pour éviter les fourbures il est important de : réguler l’apport en nourriture, être sur de son maréchal ferrant et le faire intervenir régulièrement
!La fourbure non traitée conduit à la rotation de la 3ème phalange qui peut perforer la sole. La fourbure peut arriver à la perte du sabot même jusqu’à la mort du cheval dans les cas très graves.